To Thomas Jefferson from Jean André Chrestien, 8 March 1807

Monsieur Le président

montpellier Le 8. mars 1807.

Si je ne voyais en vous que L’ami eclairé de La science, je n’oserais pas vous faire hommage de L’exemplaire d’un ouvrage que je prens La liberté de vous offrir; mais Vous étes ami de L’humanité, et à ce titre vous daignerés accueillir un recueil d’observations qui peut être utile à vos concitoyens, en multipliant Les moyens d’administrer Les remèdes les plus énergiques dans des cas ou le malade ne peut pas les avaler ou les supporter. Je suis avec le plus profond respect, Monsieur Le président, Votre très humble et très obéissant serviteur.

Chrestien méd.

DLC: Papers of Thomas Jefferson.

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